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Guerilla jardinière en ville

Le 24/01/13 par Vincent.F

Il est des formes de guerilleras urbaines pacifiques dont le crédo est d’alerter les (pouvoirs) publics sur l’occupation des sols abandonnés, qu’ils soient publics ou privés. L’une d’entre elles agit par le fleurissement sauvage de l’espace public ou privé.

Prenez un terrain, une parcelle, pouvant être très réduit, comme le parterre de terre apparent autour des arbres plantés en bord de route, ou un terrain communal, inutilisé ou mal utilisé, il pourrait être une cible de choix pour ces activistes d’une nouvelle vision de la verdure en ville, mais aussi de la propriété.

Entre les pavés, des pivoines… Fleurir l’espace public

Une forme d’interventionnisme écologique, ciblant toute surface vierge pour y semer des végétaux, généralement sous la forme privilégiée du jardin communautaire, mais aussi simplement en fourrant un tas de graines dans tous les endroits pouvant les accueillir.

On en trouve sur internet la source s’apparentant à une certaine Liz Christy, égérie d’un mouvement new-yorkais appelé à l’époque (1973) Green Guerilla et visant la transformation d’un terrain abandonné en jardin communautaire en plein Manhattan.

On voit bien dans ces mouvements une volonté de penser la ville autrement, en y rendant sa place à la végétation, offrant une chance aux écosystèmes, mêmes minuscules, de s’y développer.

>> la suite page 2 : vocabulaire guerrier, action pacifiste; les outils des activistes : bombes à graines, plantation sauvage>>

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